DPO et RGPD, tout ce qu’il faut retenir

Explorez le rôle clé du Délégué à la Protection des Données et les exigences du règlement européen sur la protection des données pour sécuriser les données personnelles avec notre guide expert Virtual DPO

A travers cet article, nous nous efforcerons de répondre de manière claire et synthétique à toutes les questions que vous vous posez sur le rôle du DPO, à savoir :

  1. Qu’est-ce qu’un Délégué à la Protection des Données ?
  2. Doit-on obligatoirement nommer un DPO ?
  3. Quelles sont les qualifications nécessaires pour devenir DPO ?
  4. Quelles sont les tâches spécifiques du DPO ?
  5. Comment le DPO doit-il être intégré dans l’organisation ?
  6. Le DPO peut-il occuper d’autres fonctions dans l’entreprise ? Comment limiter les risques de conflit d’intérêts ?
  7. Comment le DPO interagit-il avec les autorités de contrôle ?
  8. Quels sont les droits et obligations du DPO ?
  9. Peut-on externaliser son DPO ?
  10. Comment désigne-t-on un DPO ?
  11. Quels défis un DPO peut-il rencontrer lors de la mise en œuvre du RGPD dans des entreprises multinationales, et comment les surmonter ?
DPO en entreprise

Qu'est-ce qu'un Délégué à la Protection des Données ?

Le Délégué à la Protection des Données (ci-après « DPO ») peut être une personne physique ou morale, selon les besoins et la structure de l’organisme qui le désigne.

S’il est interne, il représente nécessairement une personne physique faisant partie intégrante de l’organisation.

En revanche, s’il est externe, l’entité a le choix entre une personne morale, comme un cabinet d’avocats ou de conseils, ou une personne physique, telle qu’un avocat ou un consultant indépendant.

Quel que soit le cas, le DPO doit posséder un ensemble de compétences professionnelles et une expertise pointue dans le domaine de la protection des données. Cette expertise inclut une connaissance approfondie du règlement européen sur la protection des données (ci-après « RGPD« ) ainsi que des pratiques et des outils nécessaires pour en assurer la conformité.

Par ailleurs, le DPO doit bénéficier de moyens matériels, organisationnels et humains adéquats pour mener à bien ses missions. Cela comprend un accès aux ressources nécessaires, des outils appropriés pour gérer les données personnelles, ainsi qu’un soutien de la part de la direction et des différents services de l’organisme.

En outre, bien que le DPO puisse travailler de manière autonome, il peut également être épaulé par une équipe spécialisée ou collaborer étroitement avec d’autres départements de l’organisation. Il peut également travailler en étroite collaboration avec un réseau de « relais Informatique et Libertés » pour l’assister dans la sensibilisation aux questions de protection des données et pour remonter les questions, les projets ou les demandes d’exercice de droit.

Concernant son rôle, le DPO agit comme l’instigateur de la gestion des données personnelles au sein de l’organisme qui l’a désigné. Il est donc le garant de la mise en conformité de l’organisme aux dispositions du RGPD et veille à ce que tous les traitements de données de l’organisme soient conformes à la réglementation.

Il est important de noter que le DPO n’est pas responsable de la conformité globale de l’organisme, mais plutôt de veiller à ce que les activités de traitement des données respectent les exigences légales en matière de protection des données.

Doit-on obligatoirement nommer un DPO?

La désignation d’un DPO est rendue obligatoire dans certains cas, que ce soit pour les responsables de traitement ou les sous-traitants. Ces cas incluent :

  • Les autorités ou organismes publics, à l’exception des juridictions dans l’exercice de leurs fonctions juridictionnelles.
  • Les organismes dont les activités principales les conduisent à effectuer un suivi régulier et systématique de personnes à grande échelle.
  • Les organismes dont les activités principales impliquent le traitement à grande échelle de données sensibles ou relatives à des condamnations pénales et infractions.

Dans les autres cas, bien que recommandée, la désignation d’un DPO n’est pas obligatoire.

Néanmoins, ne pas désigner de DPO lorsque cela est obligatoire peut exposer l’organisme à des sanctions de la part de la Commission nationale de l’informatique et des libertés (ci-après « CNIL »). Ces sanctions peuvent prendre la forme d’un rappel à l’ordre, d’une injonction à se mettre en conformité, ou d’une amende administrative pouvant atteindre jusqu’à 10 millions d’euros ou 2 % du chiffre d’affaires annuel mondial de l’exercice précédent, le montant le plus élevé étant retenu.

Partant, la désignation d’un DPO est une étape cruciale pour garantir la conformité aux réglementations en matière de protection des données, et ce, en particulier pour les entités publiques et les organisations traitant des données à grande échelle.

Quelles sont les qualifications nécessaires pour devenir DPO?

Le DPO doit être doté des compétences indispensables pour remplir ses fonctions.

En effet, il doit posséder à la fois une expertise juridique et technique dans le domaine de la protection des données personnelles. Cependant, avoir une compréhension approfondie du secteur d’activité de l’organisation, ainsi que de sa structure interne, est également essentiel. Cela inclut une connaissance détaillée des opérations de traitement des données, des systèmes d’information utilisés et des exigences en matière de protection et de sécurité des données.

De plus, le DPO doit disposer des ressources adéquates pour mener à bien ses missions.

En effet, il doit avoir suffisamment de temps pour exercer efficacement ses responsabilités, des ressources matérielles et humaines suffisantes, un accès aux informations pertinentes, une implication précoce dans les projets traitant des données personnelles, et une accessibilité pour les personnes concernées, afin de répondre à leurs questions et préoccupations.

En outre, le DPO doit être en mesure d’agir en toute indépendance, ce qui signifie qu’il ne doit pas être en situation de conflit d’intérêts, notamment s’il cumule sa fonction de DPO avec d’autres responsabilités au sein de l’organisation. Il est également crucial, pour remplir son obligation d’indépendance, que le DPO ne rende pas compte de ses actions au plus haut niveau de direction de l’organisme, qu’il ne soit pas sanctionné pour l’exercice de ses fonctions et qu’il ne doive pas recevoir d’instructions dans le cadre de ses missions.

En plus des compétences techniques, le DPO doit posséder des qualités personnelles essentielles, à savoir :

  • Intégrité et haut niveau d’éthique professionnelle ;
  • Capacité à communiquer efficacement, à vulgariser des concepts complexes et à convaincre différents acteurs au sein de l’organisation.

Il est à noter que le profil du DPO peut varier, et qu’il n’existe pas de profil type. Il peut provenir de divers horizons tels que l’informatique, le droit, l’administration, la finance, la conformité ou l’audit. Cependant, quelle que soit son origine, une formation complémentaire en protection des données personnelles est souvent nécessaire pour assurer une bonne compréhension et application des principes et des réglementations en vigueur.

Quelles sont les tâches spécifiques du DPO?

Le DPO joue un rôle central au sein de l’organisme.

En effet, il assume la responsabilité d’être le point de référence de l’organisme pour toutes les questions concernant le RGPD, jouant ainsi un rôle crucial dans la gestion des données personnelles.

De plus, en identifiant les moments clés où son expertise est nécessaire pour prendre des décisions éclairées en matière de protection des données, le DPO conseille et accompagne l’organisme.

Il sensibilise et forme les membres de l’organisation impliqués dans le traitement des données personnelles, les aidant à comprendre les exigences du RGPD et à adopter les bonnes pratiques en matière de protection des données.

Il effectue également la mise en conformité de l’organisme aux dispositions du RGPD, ce qui comprend notamment :

  • Effectuer des évaluations d’impact sur la protection des données lorsque nécessaire pour évaluer les risques relatifs aux droits et libertés des personnes concernées.
  • Assurer le respect des principes fondamentaux de protection des données, tels que la minimisation des données, la limitation de la conservation et la transparence, dans tous les processus de traitement.
  • Mettre en place des mesures appropriées pour assurer la sécurité des données, notamment des mesures techniques et organisationnelles.
  • Prendre en charge et répondre aux demandes concernant l’exercice des droits des personnes en matière de protection des données, comme le droit d’accès, de rectification, d’effacement ou de portabilité de leurs données.
  • Coopérer avec les autorités de contrôle en cas de besoin et notifier toute violation de données conformément aux exigences du RGPD.

Sa fonction étant en étroite collaboration avec le Responsable de la Sécurité des Systèmes d’Information (ci-après « RSSI ») et le Directeur des Systèmes d’Information (ci-après « DSI »), il établit un lien essentiel entre la protection des données et la sécurité des systèmes d’information, assurant une approche intégrée de la gestion des risques.

En tant que médiateur, le DPO facilite les échanges et assure une communication fluide avec les autorités compétentes, notamment la CNIL, pour garantir une conformité constante avec les réglementations en vigueur.

Enfin, le DPO est chargé de documenter minutieusement tous les traitements de données, assurant ainsi une traçabilité complète des activités de traitement et une transparence accrue vis-à-vis des parties prenantes.

Comment le DPO doit-il être intégré dans l'organisation?

Il convient de préciser que le DPO peut être un membre du personnel de l’organisme, exerçant à temps plein ou à temps partiel. Cette flexibilité permet notamment à l’organisme de s’adapter à ses besoins spécifiques en matière de protection des données.

Pour être pleinement intégré, le DPO doit être considéré comme un interlocuteur naturel au sein de l’organisme, bénéficiant d’une position claire et d’un soutien institutionnel pour mener à bien ses missions. Lorsque l’organisme fait le choix de désigner un DPO mutualisé avec d’autres entités,  il est recommandé qu’un référent soit désigné dans chaque entité pour assurer une représentation physique et faciliter les échanges et la remontée des questions et des problématiques rencontrées.

Il est essentiel que le DPO soit consulté selon un calendrier prédéfini et aux moments clés qu’il aura établis préalablement. En effet, la participation régulière du DPO aux réunions stratégiques de l’organisme garantit une prise en compte proactive des enjeux de protection des données dans les processus décisionnels et de planification.

Dès qu’un nouveau traitement de données est mis en place, il doit impérativement être porté à la connaissance du DPO pour maintenir à jour le registre des traitements, document essentiel permettant de suivre et de contrôler les activités de traitement de l’organisme.

De plus, toutes les questions relatives aux données, qu’elles émanent de l’intérieur ou de l’extérieur de l’organisation, doivent être adressées au DPO. Son expertise lui permettra d’apporter des réponses pertinentes et conformes aux exigences légales.

  Pour assurer une collaboration efficace, toutes les informations pertinentes doivent être transmises au DPO en temps opportun, lui permettant ainsi de fournir des avis éclairés et pertinents.

Le DPO doit également être immédiatement informé en cas de violation de données ou d’incidents liés à la protection des données, lui permettant d’intervenir rapidement pour limiter les impacts et assurer une réponse appropriée.

Enfin, pour mener à bien ses missions, le DPO doit avoir un accès aux systèmes d’information de l’organisation ainsi qu’à la documentation contractuelle et aux informations traitées, garantissant ainsi sa capacité à exercer ses fonctions dans les meilleures conditions possibles.

Le DPO peut-il occuper d'autres fonctions dans l'entreprise? Comment limiter les risques de conflit d'intérêt ?

Oui, il est possible pour un DPO d’occuper d’autres fonctions au sein de l’organisme.

Par exemple, le RSSI peut assumer le rôle de DPO, mais il est primordial de prévenir les éventuels conflits d’intérêts engendrés par cette double fonction. Cela nécessite une séparation claire des responsabilités et une attention particulière à l’indépendance du DPO.

De plus, un point de vigilance doit être mené lorsqu’un représentant d’un responsable de traitement ou d’un sous-traitant est situé en dehors de l’Union européenne. En effet, désigner cette personne en tant que DPO au sein de l’organisme peut entraîner un conflit d’intérêts. Dans de tels cas, il est essentiel de privilégier un DPO indépendant et impartial pour assurer la conformité aux réglementations sur la protection des données.

Le DPO doit jouir d’une totale indépendance au sein de l’organisme et ne doit pas occuper de poste de direction ou de responsabilité décisionnelle. Cette indépendance garantit que le DPO peut agir en toute impartialité et objectivité lorsqu’il s’agit de prendre des décisions ou de donner des avis sur les questions de protection des données.

De plus, pour assurer une indépendance maximale, il est recommandé de ne pas désigner la même personne en tant que DPO pour un responsable de traitement et pour son sous-traitant. Cette séparation des rôles évite les conflits d’intérêts potentiels et renforce la crédibilité du DPO dans l’exercice de ses fonctions.

L’indépendance réelle du DPO implique à la fois une impartialité objective et subjective. Objectivement, le DPO ne doit pas être juge et partie, c’est-à-dire qu’il ne doit pas contrôler les décisions qu’il a lui-même prises. Le DPO doit être à l’abri de toute influence susceptible de compromettre sa liberté de jugement et d’action. Cette garantie d’immunité lui permet de remplir ses missions avec intégrité, sans être soumis à des pressions internes ou externes.

Comment le DPO interagit-il avec les autorités de contrôle ?

Il incombe au DPO de coopérer pleinement avec l’autorité de contrôle, notamment la CNIL, en répondant à ses demandes et en facilitant les échanges lors de contrôles sur place, d’instructions de réclamations, de consultations dans le cadre d’Analyse d’Impact sur la Protection des Données (AIPD), ou de notifications de violations de données. Son rôle de facilitateur est crucial pour assurer une collaboration efficace entre l’organisme et l’autorité de contrôle.

Dans le cadre d’un contrôle de la CNIL, le DPO peut être désigné comme le responsable des lieux où se trouvent les traitements de données vérifiés. Il agit alors en tant qu’interlocuteur privilégié de la délégation de contrôle et est chargé de relire et de signer le procès-verbal dressé à la fin de la journée. Cependant, le responsable de traitement conserve le droit de formuler ses observations sur le procès-verbal qui lui sera transmis.

Toutefois, lors d’une convocation à une audition auprès de la CNIL, le DPO ne peut pas représenter seul l’organisme, car cela pourrait créer un conflit d’intérêts. Il peut toutefois accompagner un représentant de l’organisme pour apporter son expertise et répondre aux questions posées par l’autorité de contrôle. Cette mesure vise à garantir une représentation équilibrée et une transparence dans les interactions avec la CNIL.

Quels sont les droits et obligations du DPO ?

En qualité d’acteur indépendant, le DPO exerce ses fonctions sans influence extérieure sur la manière dont il les exécute. Il bénéficie ainsi de la liberté nécessaire pour prendre des décisions opérationnelles, conformément aux exigences du RGPD.

Le respect de l’obligation de confidentialité et du secret professionnel est une composante essentielle du rôle du DPO. Cette obligation garantit la préservation de la confidentialité des informations sensibles et renforce la confiance des parties prenantes dans la gestion des données personnelles par l’organisme.

Enfin, il est important de souligner que le DPO n’assume pas de responsabilité pénale quant à la conformité de l’organisme. Sa mission principale réside dans le conseil, l’assistance et le contrôle, sans être directement impliqué dans les infractions éventuelles.

Peut-on externaliser son DPO ?

Chaque entité est libre de façonner la fonction de DPO selon ses propres besoins et impératifs. Cette flexibilité permet à chaque organisme de prendre des décisions adaptées à sa structure, ses ressources et ses objectifs spécifiques. Cette liberté de choix revêt une importance cruciale, car elle permet à l’entité de déterminer la meilleure approche pour assurer la conformité aux réglementations en matière de protection des données, tout en optimisant l’utilisation de ses ressources.

Lorsqu’il s’agit de choisir entre un DPO interne ou externe, chaque option présente ses propres avantages et inconvénients. Opter pour un DPO externe peut offrir plusieurs bénéfices, notamment une solution pratique pour les organisations qui ne disposent pas de ressources humaines internes dédiées à la protection des données. Cela permet à ces entités de bénéficier d’une expertise spécialisée sans avoir à recruter et former du personnel supplémentaire.

Le recours à un DPO externe permet également de tirer parti de l’expérience et des outils développés par le prestataire externe, ce qui peut constituer un avantage significatif en termes d’efficacité et d’efficience.

Un DPO externe peut également apporter une spécialisation dans un secteur spécifique, ce qui peut être particulièrement bénéfique pour les organismes opérant dans des domaines réglementés ou complexes.

De plus, le DPO externe peut avoir une connaissance approfondie des bonnes pratiques et des meilleures stratégies de conformité, grâce à son expérience avec d’autres organisations similaires.

Cependant, il est important de rester vigilant face à certains points lors du recours à un DPO externe.

En effet, il est essentiel d’organiser des points d’échange et de contacts réguliers avec le plus haut niveau de direction, ainsi qu’avec les équipes opérationnelles, afin de maintenir une communication efficace et de garantir une prise en compte adéquate des enjeux de protection des données.

Il est crucial également de s’assurer que le contact avec le DPO externe soit aussi simple et fluide que celui d’une personne interne, afin de faciliter la collaboration et l’échange d’informations.

Si vous souhaitez désigner un DPO externe, le cabinet Virtual DPO dispose de toutes les compétences et de toutes les qualités nécessaires pour répondre à votre besoin.

Comment désigne-t-on un DPO ?

La désignation d’un DPO comprend 3 étapes :

  • La formalisation des missions
  • La communication en interne
  • La désignation auprès de l’Autorité compétente.

L’ensemble des missions du DPO doivent être formalisées au sein d’un document spécifique. Ce document peut prendre plusieurs formes, à savoir une lettre de mission, un avenant au contrat de travail, une fiche de poste ou encore un contrat de prestation de services pour le DPO externe.

De plus, une communication proactive est essentielle pour accroître la visibilité de la fonction du DPO au sein de l’organisme. L’objectif est de sensibiliser les membres internes sur le rôle crucial du DPO, son statut et les moyens mis à sa disposition pour garantir la conformité aux réglementations sur la protection des données. Cela comprend également la diffusion des coordonnées du DPO pour permettre une communication fluide en cas de questions ou de signalements relatifs à la protection des données.

Enfin, la désignation du DPO doit être effectuée auprès de l’autorité compétente, qui dépend de la nature des traitements de données mis en œuvre par l’organisme.

Pour la CNIL, cette désignation se fait en ligne en remplissant le formulaire dédié en cliquant ici.

Il est crucial de déterminer quelle est l’autorité compétente en fonction de la nature des traitements de données :

Pour les traitements locaux, c’est-à-dire ceux mis en œuvre par les établissements de l’organisme dans un seul pays et n’affectant principalement que des personnes de ce pays, l’autorité compétente sera celle de ce pays.

En revanche, pour les traitements transfrontaliers, lorsque le responsable de traitement (mère ou filiale) met également en œuvre des traitements en dehors de son pays d’établissement, le DPO doit être désigné auprès de l’autorité du pays où est situé l’établissement principal.

Cette approche assure une désignation appropriée du DPO en fonction de la portée et de la complexité des traitements de données de l’organisme, tout en garantissant une conformité efficace avec la réglementation en matière de protection des données.

 

Quels défis un DPO peut-il rencontrer lors de la mise en œuvre du RGPD dans des entreprises multinationales, et comment les surmonter?

Face aux défis tels que le manque de ressources et de budget pour remplir efficacement ses missions, ainsi que les difficultés à sensibiliser les collaborateurs aux enjeux de la protection des données, l’accompagnement par un DPO externe peut se révéler avantageux.

Virtual DPO, en tant que prestataire externe, se positionne comme un partenaire capable d’apporter une expertise spécialisée et des conseils adaptés à ces défis. Pour toute question relative au DPO, n’hésitez pas à nous contacter. 

Virtual DPO se fera un plaisir d’échanger avec vous sur ce sujet.

Auteur : Maître Leben, avocat au barreau de Paris